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Par leronis le 8 Décembre 2009 à 16:18
Rêve enchanté, longue indolence
Les fées sont sages et le feu danse
La déesse mère donne et reprend
La vie, l’amour et l’entendement
La belle s’étonne, tendre innocence
Les princes rivalisent d’élégance
Et le dragon gris que l’on dit méchant
Veille avec tendresse sur ses petits enfants
Ce monde magique où plane la chance
Protège ses hôtes d’éventuelles turbulences
C’est une île au milieu de l’océan
Ou une étoile coté soleil levant
Mon repère au coeur du silence
Loin de la peur et de la violence
Accaparé par ce voyage dans le temps
Je m’éloigne ainsi des mornes instants
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Par leronis le 5 Décembre 2009 à 15:26
Lorsque se pose le problème du sens
L’imaginaire pousse et influence
Même si le rationnel compense
L’enculturation cimente notre dépendance
Alors peut-on reconnaître à la science
De soulever vérité et bon sens?
Ou devrait-on plutôt revoir la force du silence?
La compréhension ne s’acquière sans patience
Et soutenue d’une bonne part d’expérience
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Par leronis le 23 Novembre 2009 à 19:27
Quelle page s’écrit sans mystère?
Une part du coeur, une de l’ esprit
Et une de l’ univers.
Un peu de toi, un peu de moi
Et aussi de nos mères.
Nul ne connaît l’ensemble que
L’ensemble lui-même.
Et nul ne peut monter aussi haut
Que celui qu’on aime.
Quelle mot exprime clairement
Tout ses sens?
Rien de mieux finalement
Que le silence.
Quel discours doit-on faire
Pour arrêter la guerre?
Si nul ne se comprend;
Qui ne dit mot consent?
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Par leronis le 12 Novembre 2009 à 16:03
Comme l’orage qui, libre, se
dévergonde
Je redeviens sauvage et rejoint
la colombe
Qui seule, au matin, s’égaye
au soleil
De voir au lointain beautés
sans pareilles.
Comme un nuage recouvrant
le monde
J’aimerais être sage en projetant
mon ombre
Sans nuire aux destins, et prendre
conseils
Du cycle qui revient, être celle
qui veille.
Sans aucun bagage me promener
sur l’onde
Éviter le naufrage pour que
jamais ne tombe
La folie du malin dormant au
creux de mes mains.
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Par leronis le 18 Avril 2009 à 15:57
Sous leur heaume, héros légendaires oubliés
Par grands chemins, d’haubert protégés
Princes, chambellans, preux chevaliers
Le royaume servants par vents et marées
Bannières, oriflammes, tendue haut l’épée.
<><><>
Graal superbe, quête immémoriale
Symbole de temps anciens
Ton bras s’étend sur demain
Ta face caché, mystère portant l’épée
Cape pourpre, noir château
Appelle ton héros hors du donjon
Combattre dans la mort le dragon
Pour la foi retrouvé, mille rêves oubliés
Ultime sacrifices qui mit à néant le vice
Légende ou réalité, nul effort n’est en vain.
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