Naufrage cérébrale
Prière en singulière cathédrale
Les laboureurs du ciel exécutent leur travail
Les neiges artificielles
Issues des semailles
Recouvriront de merveilles
Les coeurs en batailles
Aux givres éternelles
Conscience soupirail
Ardeur mondiale
Paroles triomphales   

Douce fée, ça et là, se promène
Du rêve à l’aube, secourir l’âme
en peine
Petite étoile laissera sur la main
Pour un sourire retrouvé au matin
Par le songe brin d’espoir a germé
Dans un coeur trop souvent oublié
Chaque nuit tant de fées s’affairent
À exaucer, peu à peu, nos prières
Douce, douce magie du destin
Que de s’éveiller petite étoile sur la main.

La vague valse et le feu qui danse n’a pas en notre âme autant d’importance que celui ou celle que le coeur a conquis lorsque le corps laisse place à l’esprit. L’amitié passe par de doux chemins et écarte les douleurs du destin.  Mais qui peut se dire complice véritable lorsque son unique trajet il ne regarde. Point n’est de compassion dans l’oeil de l’être sans raison. Mais celui qui avance avec confiance tend à la réalisation de grandes espérances.