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TEMPS GRIS
L’heure de la peur...
J’aperçois des chemins menant
au néant...
Un espoir éphémère pris dans
un tourbillon de lassitude...
L’emprise du fléau m’inonde
le coeur...
Le chagrin comme une onde
m’emporte...
Au loin, un temple, mais dans
quelles eaux?...
De ma tour effondrée rien ne
subsiste; des riens, des riens,
si peu...moi.
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